Federal Liberals look to relax penalties for some drug offences
Chris Livingstone with the Western Aboriginal Harm Reduction Society responds to the proposed relaxing of federal drug laws and talks about whether the measures go far enough.
The U.S. Senate will start debating President Joe Biden's $1.9 trillion coronavirus relief bill this week, Senate Majority Leader Chuck Schumer said on Monday after Democrats backed down from an effort to raise the minimum wage to $15 as part of it. The backpedaling did not end hopes of addressing the minimum wage issue in Congress. Democrats and some Republicans have voiced support for the idea of raising the federal minimum wage, now at $7.25 an hour, for the first time since 2009, although they disagree on how much.
Sundridge may be on the verge of eliminating an algae problem with its lagoons by using ultrasound. Council received a presentation about the cutting-edge technology from Paul Dyrda, the senior operations manager at the Ontario Clean Water Agency (OCWA). Dyrda says the ultrasound technology, called LG Sonic, works, and he wants council to approve the purchase of the $31,000 equipment. That may happen this month when council debates the presentation. Dyrda says the density and heaviness of the algal blooms at Sundridge's lagoons has “overwhelmed” the wastewater treatment system in the past. “The facilities were not designed to treat water with that amount of algae,” he explains. As a result, Dyrda says, the village's facility failed to meet environmental compliance objectives during warm weather since that's when algae is most active. At one point, Dyrda says, OCWA considered using a floating ball system where enough balls are placed in the water system that they block the sun's ultraviolet rays which, in turn, stops the algae growth. The problem is the cost worked out to be $500,000. OCWA applied for government funding for the floating balls, but the request was rejected. However, around the same time, Dyrda says, OCWA staff learned about the ultrasonic technology, which breaks the algae down at a cellular level and then it dies. OCWA received permission from the Ministry of the Environment, Conservation and Parks to try the technology on one of the lagoons last summer. “So for two months we had the algae-control device in the middle of one lagoon and compared it to the other lagoon without the device,” Dyrda says. “The difference was dramatic. The difference between the two lagoons was unbelievable and it was very successful.” Dyrda says the ultrasonic technology is so cutting-edge he doesn't believe any other municipality has government approval to use it. Dyrda says the one “caveat” with the technology is it only works on breaking down blue-green algae and green algae, which now plague the village's lagoons. “So there's the potential that you get rid of one algae, but then another type takes its place,” he told council. But, he added, there is no other option, like spending half a million dollars on the floating balls “which may or may not have worked. “This (ultrasonic technology) is the better option of the two,” Dyrda said. He wants council to approve the purchase so the equipment can be installed once the snow is gone. In addition to the $31,000 cost, installation wouldn't exceed $5,000. Dyrda says last summer's pilot project made the village's lagoons compliant with government regulations and said once the LG Sonic system is in place “all the effluent water that's going to leave the lagoons is going to be compliant.” With Dyrda during the presentation was OCWA's business development manager, Ted Smider. “Sundridge is a pioneer in this and I know other parts of OCWA are looking at this particular technology to be used, so you're the first,” Smider said. In response Mayor Lyle Hall said he was sure the village would hear more about the technology in the future and added “hopefully, we'll be the model for other organizations and municipalities.” Rocco Frangione is a Local Journalism Initiative reporter who works out of the North Bay Nugget. The Local Journalism Initiative is funded by the Government of Canada. Rocco Frangione, Local Journalism Initiative, The North Bay Nugget
Gérer le processus d’immigration pour garantir un processus de recrutement sans difficultés est une mission de plus en plus complexe et très bureaucratique. Malgré ces démarches, les entreprises dans les régions et notamment au Témiscamingue n’ont pas le choix que de devoir s’armer de patience afin d’aller cherches les employés dans les domaines en demande. À la conquête des soudeurs Confrontée à une pénurie de main d'œuvre, l'entreprise Témisko n’avait pas le choix que d’aller commencer les démarches nécessaires à la recherche des employés qui leur manque. « Principalement, nous allons recruter des postes des soudeurs. Afin de combler ses postes nous faisons appel aux services des firmes spécialisées » explique la directrice des ressources humaines chez Témisko, madame Caroline Renaud. Un manque de bouchers dans la région Chez Provigo, les gestionnaires ont été parfois obligé de réduire les heures d’ouverture de certains départements et service, et surtout d’offrir moins de variété pour les clients faute de manque de la main-d’œuvre. « J’ai essayé de chercher les profils qui nous manque dans notre magasin depuis plusieurs années, mais je n’ai reçu aucun CV qui répond à nos besoins et attentes pour les postes en demande. Ce sont surtout les bouchers et des employés dans le département de la charcuterie dont nous avons plus le besoin » précise le directeur de Provigo à Ville-Marie, monsieur Denis Nolet. « J’ai engagé une firme pour me trouver cinq candidats pour les cinq postes qui me manquent, à temps plein, après entrevues j’ai engagé les cinq » a-t-il ajouté. Recruter localement ! Devant l’incapacité d’embaucher des travailleurs de la région, l’entreprise témiscamienne Témisko à dû faire le choix d’aller recruter à l’international. « On est parti chercher des travailleurs étrangers qui demeurent déjà au Canada, qui ont perdu leurs emplois à cause de la COVID-19. Pour nous c’était beaucoup plus rapide d’aller recruter ces gens-là puisqu’on parle d’un délai d’un mois pour pouvoir faire le transfert. Mais face à la pénurie nous étions obligés d’aller chercher au-delà de nos frontière » souligne la directrice des ressources humaines. Pleins de défis à surmonter Les travailleurs étrangers, que Témisko recrute, viennent principalement de trois pays différents, à savoir la Colombie, le Costa-Rica et le Nicaragua. « Afin de pouvoir les faire venir, il faut passer par une démarche administrative très longue et un processus de paperasse complexe et compliqué » poursuit-elle. « Au-delà de la phase administrative, la pénurie des logements, surtout en cette période de l’année, est un autre défi à surmonter et à gérer. Notre réalité est bien différente des travailleurs qui viennent pour des périodes saisonnières. Les notre viennent avec leurs familles et don ils ont besoin de plus d’espace et des logement adaptés aux familles et non à des personnes pouvons vivre seules et temporairement » ajoute Caroline Renaud. Ce n’est pas toujours positif… « Si y a une chose que je peux affirmer, hors de tout doute, c’est que nous avons fait le processus dans les règles de l’art. Aucun détail n’a été négligé. Nous avons eu un an pour nous préparer. Nous avons choisi de faire affaire avec une firme externes pour le recrutement, un processus qui devait être clé en main. Si j’ai un conseil à donner : Si tu n’es pas prêt à mettre autant d’effort que le consultant que tu engages, ne te lance pas dans l’aventure » exprime la Vice-Présidente et Directrice des ventes-soumissions (propriétaire) chez Cardinal, madame Karie Bernèche. À la suite d’un concours de circonstances et d’obligations familiales le candidat est reparti après un mois. Comme on dit ici, l’histoire s’est terminée en queue de poisson. Dommage quand on passe aux sommes qui ont été investies dans le processus mais surtout au temps que nous avons mis sur ce dossier » fait-elle savoir. Un suivi rigoureux Les firmes intermédiaires entre les employeurs et les employés ont généralement une mission très bien définie afin de compléter leur processus de recrutement. Chaque firme a ses stratégies, la nature de sa mission et ses valeurs. « Le suivi je le fais par moi-même, de la recherche du logement à l’arrivé des employés. La firme avec qui nous faisons affaire se limite beaucoup plus à ce qui est administratif » conclu Caroline Renaud. Moulay Hicham Mouatadid, Initiative de journalisme local, Reflet Témiscamien (Le)
Les observateurs les plus cyniques vont régulièrement répéter le laïus voulant que les politiciens de carrière soient tous faits à partir d’un même moule. Pourtant, l’éventail des citoyens qui se lancent en politique municipale est on ne peut plus varié. À ce chapitre, le parcours ayant mené Mathieu Daviault au conseil de Saint-Amable fait partie de ceux qui peuvent étonner. Élu pour la première fois en 2017, l’Amablien de 33 ans a notamment dû décider, à la croisée des chemins, s’il devait poursuivre sa carrière sportive dans les arts martiaux mixtes (AMM) ou se lancer en affaires pour gagner sa vie. « J’ai toujours été sportif, nous explique celui qui, en compagnie de son père, a fondé l’entreprise Conteneur Daviault en 2010. J’ai joué au football, au hockey durant toute ma jeunesse. Puis, à 21 ans, à la suite d’une blessure au genou, j’ai décidé de changer de discipline. Comme les sports de combat m’ont toujours intéressé, je me suis lancé dans les arts martiaux mixtes. J’ai notamment appris le jiu-jitsu, une des disciplines fortes dans la pratique des AMM. » Avec une fiche de sept victoires en neuf combats, on peut même dire que le jeune homme montrait un certain talent chez les combattants amateurs. Après avoir pris la décision de quitter l’hexagone pour de bon, le futur conseiller du district 2 de Saint-Amable a cependant poursuivi sa passion pour le jiu-jitsu, ce qui lui a permis de voyager pour participer à des compétitions un peu partout en Amérique avant de devenir lui-même entraîneur. « Sans me vanter, je pense que je suis un bon élève, croit Mathieu Daviault. J’ai roulé ma bosse. Le jiu-jitsu m’a permis de vivre des expériences incroyables. C’est un beau sport. Et c’était quand même moins demandant côté temps. En AMM, tu dois t’entraîner trois heures, et ce, tous les soirs avant un combat. Alors j’ai fait un choix de vie. Le jiu-jitsu, c’est demandant, mais la charge est quand même moins grande.» À l’instar de bien des résidents de Saint-Amable, où la moyenne d’âge se maintient sous la barre des 35 ans, Mathieu Daviault a fondé son propre petit clan ces dernières années. Père de deux fillettes âgées de 5 ans et 2 ans et demi, celui-ci a profité de la pandémie pour passer un peu plus de temps avec sa marmaille et intégrer la pratique de la discipline à la routine familiale. « On pratique la base, les techniques, les mouvements, mais c’est toujours sous forme de jeu, précise celui qui, en 2019, a été le candidat conservateur lors des élections fédérales dans Pierre-Boucher–Les Patriotes–Verchères. Ma grande, elle fait ça depuis déjà deux ans avec papa. C’est quelque chose que j’adore. Durant la pandémie, il n’y avait pas de cours pour les enfants, alors j’ai acheté des tapis pour que nous puissions pratiquer toutes les semaines dans le garage. C’est important pour moi. C’est un sport qui permet d’acquérir des vertus comme la discipline. Il faut dire que c'est aussi une technique d’autodéfense, alors c’est comme un cadeau qu’on leur fait. » Quant à l’inévitable parallèle entre les arts martiaux mixtes et la politique, celui dont la grand-mère paternelle a également été conseillère municipale admet qu’il y a des similitudes, même si la civilité est souvent plus présente entre des combattants qu’entre adversaires politiques. « Pour avoir fait les deux, je peux vous dire par expérience personnelle qu’il y a beaucoup plus de respect en sport de combat que dans la politique. Ça, c'est définitif! » Steve Martin, Initiative de journalisme local, La Relève
Shawinigan – Tous les superhéros accomplissent des miracles, c'est bien connu. Nino Mancuso, le grand patron du Shawicon et son équipe en ont réalisé un également dans les dernières semaines, alors qu'ils ont réussi l'exploit de mettre sur pieds la sixième édition de l'événement, dans tout le contexte que l'on connaît, tout en s'assurant au passage la présence de grandes pointures du milieu du divertissement d'ici et d'ailleurs. Nino Mancuso ne s'en cache pas : l'édition 2021 n'avait rien à voir avec les précédentes. «Ça a été bien, bien, bien différent des autres années!» sourit-il, d'emblée. «Jusqu'en décembre, on n'était pas sûr de ce qu'on ferait. Avec les décisions du gouvernement, c'était difficile de se brancher», exprime-t-il. Non seulement fallait-il avoir le feu vert, mais tout était à faire pour l'organisation. «D'habitude, on se prépare dès le mois de mai ou juin, on avait donc un gros retard en partant dans la préparation et c'est quand même beaucoup de travail», concède le principal intéressé. Cette édition «bien, bien, bien» différente aura tout de même ouvert de belles possibilités à M. Mancuso et son équipe. «Avec la pandémie, on a eu la chance d'avoir des gros noms qu'on n'aurait pas pu avoir sinon. Qu'on pense à Bonnie Wright qui a joué dans Harry Potter ou à la gang de ''Dans une galaxie près de chez vous'' que j'essayais d'avoir depuis la première édition mais dont les acteurs ne pouvaient jamais tous en même temps parce qu'ils étaient sur un tournage, au théâtre. On a profité de cette situation. Ça a été bénéfique.» Nino Mancuso est par ailleurs convaincu d'avoir fait bonne impression auprès des vedettes de cette année et de leurs agents, ce qui, estime-t-il, ne nuira pas dans un futur proche. «C'est quand même compliqué d'atteindre certaines vedettes. J'ai été chanceux, j'ai contacté de grandes compagnies qui m'ont répondu. Tout le monde est super content, les invités ont eu beaucoup de plaisir et les artistes ont adoré la réaction des fans qui ont participé et nous ont suivi en grand nombre. C'était assez fou», se réjouit-il. L'événement se fait une fierté d'avoir été l'un des premiers en son genre à être offert totalement gratuitement aux passionnés du genre. «On a gravi un échelon de plus en tenant quelque chose de numérique. On est bien fiers d'avoir pu l'offrir gratuitement aux gens.» À peine l'édition 2021 terminée, l'organisation planchera logiquement sur la septième présentation de l'événement à pareille date l'an prochain. «On va commencer tranquillement. On est toujours un peu dans l'attente. Chose certaine, il y a des trucs qui vont changer, on va essayer quelque chose de nouveau», a laissé entendre M. Mancuso. En 2020, le Shawicon avait amené plus de 266 000$ en retombées économiques pour la ville de Shawinigan. Marc-André Pelletier, Initiative de journalisme local, Le Nouvelliste
U.N. Secretary-General Antonio Guterres said a "disappointing" $1.7 billion had been pledged by countries on Monday for humanitarian aid in Yemen - less than half the $3.85 billion the world body was seeking for 2021 to avert a large-scale famine. Childhood in Yemen is a special kind of hell. Some 16 million Yemenis - more than half the population of the Arabian Peninsula country - are going hungry, the United Nations says.
Les portes de Monkey Spaces à Sainte-Sophie s’ouvrent – littéralement – sur un site enchanteur et paisible, dont le chemin enneigé menant au stationnement est traversé momentanément par quelques chevaux et alpagas. Cette arrivée pour le moins surprenante nous donne l’impression d’entrer dans un tout nouveau monde. Nancy Trudeau est la propriétaire et fondatrice de cet organisme à but non lucratif, ouvert dans sa globalité depuis le mois de mai. Elle est accompagnée notamment de Coco, chargée de projet, Éric, en charge de l’entretien, des réparations ou du soin aux animaux, et de Mélanie, assistante responsable des petits animaux et des autres bénévoles. C’est cette dernière qui nous accueille chaleureusement sur le site qu’elle nous fait visiter avec un enthousiasme contagieux. L’organisation remplit une double mission : le site abrite des animaux, petits et grands – chats, chiens, cochons, poules, chevaux, alpagas, etc. – qui n’étaient plus souhaités ailleurs, ou risquaient même l’abattoir. Non seulement on les sauve, mais leur présence permet aussi de pratiquer la zoothérapie auprès de personnes aux défis particuliers, comme celles vivant avec un trouble du spectre de l’autisme. Il y a plus de 20 ans, Nancy Trudeau achetait ce terrain de 75 acres. Elle y a pratiqué quelque temps la zoothérapie. Par la suite, la vie l’a menée jusqu’au Costa Rica où elle passait normalement la moitié de l’année. Elle y a fait des acquisitions dans le but de développer un projet communautaire. « J’ai fait une serre et je donne les légumes et les fruits à l’orphelinat et à la maison pour personnes âgées », souligne-t-elle. Elle comptait aussi faire construire un sanctuaire pour les singes. La pandémie a toute-fois freiné ses plans au Costa Rica, mais accéléré et concrétisé son projet à Sainte-Sophie. S’adapter aux besoins Le concept de Monkey Spaces est simple et flexible. Les familles profitent d’une période de deux à trois heures sur le site, où plusieurs options s’offrent à eux : brosser et nourrir les animaux, marcher en forêt, faire de la raquette ou glisser en hiver, faire du kayak ou se baigner en été. Il y a même un espace pour prendre un café et une grande salle vitrée propice à la détente et au yoga. On y retrouve aussi des instruments de musique et des livres. Le circuit peut varier d’une famille à l’autre, selon leurs besoins et leurs désirs. Mélanie Dumoulin indique que cette approche fait rupture avec leur vie quotidienne, où les enfants sont souvent restreints et dictés dans ce qu’ils doivent faire. « C’est un centre de plein air pour la différence. Toutes les personnes à défis particuliers peuvent venir ici, se ressourcer ou prendre une pause. Toutes ces familles-là sont essoufflées. Et en plus, avec la COVID-19, leur routine a été bousculée », ajoute-t-elle. D’ailleurs, la demande est significative depuis le mois de mai. La bénévole précise qu’au total, le site a accueilli une centaine de familles différentes. Chaque semaine, une vingtaine y mettent les pieds. Certaines familles reviennent régulièrement. Nancy Trudeau a toujours eu une grande passion pour les animaux. Elle a même possédé un singe pendant trois ans, d’où le nom de son organisation. La propriétaire compte concentrer les vingt prochaines années à développer ses différents projets, répondre à la demande et aider le plus de familles possibles. Il y a d’ailleurs beaucoup d’ambition pour bonifier l’offre de Monkey Spaces. Mélanie indique par exemple la possibilité d’installer des volières pour y mettre des perroquets ou de construire un arbre en arbre pour la saison estivale. L’équipe souhaite aussi diversifier sa clientèle : ils veulent accueillir de plus en plus de personnes âgées ou encore de gens aux prises avec des problèmes de santé mentale, comme la dépression. Des démarches ont même été entreprises auprès de la DPJ pour accueillir des enfants. Bref, ce ne sont pas les projets qui manquent, et surtout pas la passion. Ève Ménard, Initiative de journalisme local, Journal Accès
Infectious diseases expert Dr. Isaac Bogoch checks in with The Morning Show to answers the latest coronavirus questions.
Chatham-Kent restaurants, gaming establishments, cinemas, performing art venues and gyms are able to receive an intake of 50 clients after the provincial government moved the municipality to the Orange Zone. On Friday the Ontario government, in consultation with its chief medical officer of health, announced it was moving nine public health regions to new levels in the Keeping Ontario Safe and Open Framework. The change came into effect Monday morning. During the past two weeks, with the Fairfield Park long-term care home outbreak under control, new cases have significantly decreased, prompting the zone change. The move into Orange means Chatham-Kent saw a weekly incidence rate of 25 to 39.9 new cases per 100,000 residents. On Friday, four recoveries and four new cases of COVID-19 were reported, keeping the active total at 17 cases. Limits for organized public events and gatherings in staffed businesses and facilities, where physical distancing can be maintained, has increased to 50 people indoors and 100 outdoors. Religious ceremonies and weddings can continue to see an indoor occupancy of 30 per cent of a room’s capacity. Fitness or exercise classes can only have a maximum of 10 people and must take place in a separate room. New vaccine on the block Health Canada also announced on Friday that it gave the green light to the AstraZeneca COVID-19 vaccine which has an efficacy rate of 62 per cent from 15 days after the second dose was given to the study’s participants. It was authorized for use in individuals 18 years of age and older. "Today's approval of AZO by Health Canada represents a major addition to the armamentarium in the fight against COVID-19. I am very pleased," said Dr. David Colby, Chatham-Kent’s medical officer of health. The vaccine will be produced in Ontario and India. The Ontario-produced AstraZeneca vaccine will have 500,000 doses quicker. “There’s been no update in terms of when Chatham-Kent will receive this particular vaccine, but Health Canada produced a statement saying that it will begin being distributed in April,” Colby said. Colby added that the provincial projections for its vaccination schedule are based on only Moderna and Pfizer availability, with more being added, projections will need to be updated. His original timeline for Chatham-Kent was to have the population inoculated by September and to date things have been going on schedule. Jenna Cocullo, Local Journalism Initiative Reporter, The Chatham Voice
Coup de théâtre, vendredi soir dernier à la séance régulière du Conseil municipal de l’Estérel, où le résultat d’un sondage citoyen a vu le projet de réaménagement du terrain de golf l’Estérel être rejeté à 70 % par les répondants. Les chiffres démontrent qu’un total de 365 citoyens (domiciliés dans la municipalité ou propriétaire d’un immeuble) ont répondu à l’exercice, alors qu’au répertoire des municipalités (MAMH), on dénote une population totale de 231 personnes. « Il y avait aussi des propriétaires de terrains vacants, des copropriétaires d’unités de condos à l’Hôtel (Estérel) qui pouvaient répondre. On a obtenu un très haut taux de réponse », a souligné M. Joseph Dydzak, maire de l’Estérel. Au décompte officiel, 70,68 % des gens ont répondu « je m’oppose à ce projet ». 4,94 % ont souligné « être favorable à ce projet ». Par ailleurs, 9,86 % des répondants ont souligné « avoir certaines réserves et que plusieurs éléments devront être modifiés avant acceptation. » Ces données ont convaincu le maire d’y aller d’un énoncé au nom du Conseil municipal. « Les chiffres sont clairs et sans équivoque. La volonté des citoyens guide nos décisions. Le projet soumis ne fera pas partie du nouveau plan d’urbanisme. Golf Estérel gardera sa vocation récréative actuelle », a déclaré virtuellement M. Dydzak. En réaction à la décision rendue par le conseil municipal, le promoteur Replay Destinations a réagi dès la fin de l’assemblée. Son projet aurait pu atteindre des investissements totaux de 85 M $ au total. « Les propriétaires du Club de golf Estérel et de Replay Destinations prennent acte de la décision (…). Bien qu’il s’agisse d’un mode de consultation inhabituel, le message est très clair, quant à la volonté des élus de ne pas aller de l’avant avec notre proposition de revitalisation du parcours de golf, qui nécessitait un changement de zonage visant la construction d’unités d’habitation, pour assurer la viabilité financière du projet intégré », a écrit le vice-président et leader, secteur fabrication et manufacturier du cabinet national, M. Robert Lupien. La décision entraîne aussi des changements d’opérations. « En conséquence (…), nous avons pris la décision de ne pas rouvrir le golf cet été. Nous sommes très déçus de cette décision, dans le contexte où nous avions procédé l’été dernier à l’ouverture du golf dans un geste de bonne foi, à la suite d’une demande de la Ville de l’Estérel de nous engager dans un processus coopératif de planification avec la communauté. Nous aurions apprécié avoir l’opportunité de recevoir des amendements constructifs et de poursuivre ces discussions », a poursuivi M. Lupien. Le maire Dydsak a tenu à préciser cette déclaration. « Au contraire, ce sont eux qui nous ont offert de garder le golf ouvert, en 2020. » Golf Estérel entend revenir à la charge une nouvelle fois, après des demandes différentes en 2018 et en 2021. « Nous entendons maintenant soumettre un projet de développement conforme à la règlementation présentement en vigueur, sur le zonage et les usages permis, incluant à la fois des bâtiments résidentiels et commerciaux. » Le maire Dydsak a tenu à rappeler le contexte une nouvelle fois. « Ce n’est pas un projet comparable au golf. Ils ont le droit de construire quelques maisons unifamiliales dans la péninsule et sur quelques autres terrains résidentiels. » Ève Ménard, Initiative de journalisme local, Journal Accès
La Bostonnais – Les élections partielles tenues à La Bostonnais dimanche ont permis de confirmer deux nouveaux conseillers, alors que François Descarreaux et Renée Ouellette ont obtenu une majorité de vote pour accéder aux sièges numéros deux et cinq, respectivement. Ces «nouveaux conseillers» sont déjà connus du public puisqu'ils ont démissionné des mêmes postes il y a un peu plus de trois mois, forçant la partielle de dimanche. Les deux élus avaient laissé leur place en novembre dernier en support au maire, lui aussi démissionnaire, Michel Sylvain, qui disait alors quitter en raison de tensions au sein du conseil municipal. Ces démissions n'avaient d'ailleurs pas été les seules puisque cinq des sept élus de la municipalité avaient choisi de tirer leur révérence avant la fin de leur mandat. Les deux seuls conseillers qui persistaient, François Baugée et Guy Laplante, étaient alors vivement pointés du doigts par tous ceux qui avaient décidé de passer à autre chose. «Les conseillers Baugée et Laplante agissent comme un parti d’opposition dont le rôle est de critiquer et démolir tout ce que le conseil met de l’avant. Ils n’ont pas compris, ou ne veulent pas comprendre que dans une petite municipalité il faut travailler tous ensemble pour réussir», pouvait-on lire jadis dans la lettre de démission des conseillers Descarreaux et Ouellette, réélus au terme du processus, dimanche avec 57% et 65% des voix. Le directeur général par intérim de La Bostonnais, Yves Tousignant, se disait fort satisfait du déroulement du scrutin puisque ce dernier a enregistré un taux de participation important considérant qu'il s'agissait d'une partielle. Ce sont 46,3% des électeurs habiles à voter qui ont exercé leur droit, soit 230 sur 497. Cet exercice démocratique permettra à la municipalité de gérer elle-même son avenir, maintenant que la Commission municipale du Québec, qui gérait l'intérim depuis novembre, pourra se dégager du dossier. Le conseil municipal étant maintenant complet, les élus pourront recommencer à siéger dès vendredi. Le mandat des nouveaux élus sera de huit mois, jusqu'aux prochaines élections municipales de novembre à venir. Marc-André Pelletier, Initiative de journalisme local, Le Nouvelliste
Trystan Lackner first got interested in urban food security way back in his senior year of high school after a supportive vice-principal helped him build a community garden in barren soil where portable classrooms had been removed. It ended up producing around eight or 10 grocery bags full of lettuce, potatoes, carrots and other produce that they donated to local volunteer group Feed The Need Durham. But it only lasted the year that Lackner and classmates he had brought along were there to sustain it. “It was a seed,” says Lackner, explaining he didn't have the experience or knowledge at the time to carry it forward. “The community garden was there, and then it wasn't, and there wasn't any communication of those ideas.” Fast-forward a few years and a degree in international development later, and Lackner is looking to make a more lasting impact. After six months of preparation, Lackner and colleagues hosted an online summit called "Does Your Meal Plan Cover Climate Change?" last month as part of Youth Challenge International’s Innovate MY Future program. “Our whole idea was to develop an educational summit for young people to become more aware, get involved, and connect with the experts within the field,” he says, about the Youth Roots Durham project. The hope is that more informed communities will build more resilience into the process by which they get fed, one that faced a sharp shock due to COVID-19 disrupting global supply chains, as well as ongoing threats to the same system from climate change. The summit included a weekend panel discussion of experts followed by networking, and workshops on the links between food and climate change, the benefits of moving from mass production of commodity crops, and how to get involved in pushing for more sustainable practices. One speaker at the summit was a local permaculture farmer, who grows multiple crops in proximity to each other for mutual benefit. The practice can reduce the need for pesticides and cut carbon emissions by limiting the need to transport food, Lackner explains. The information gathered in the course of the project is being prepared to be archived on a page of the Durham Food Policy Council’s website, ensuring that unlike his high school garden, Lackner’s legacy may live on. The region — which is suburban in its southern sections near Lake Ontario and more rural in its north towards the Lake Simcoe border — exports most of its produce in the form of commodity crops, such as soy and corn, Lackner says. He says that with demand for food to expand by roughly 70 per cent in coming decades as our global population approaches 10 billion people, innovative solutions applied locally will be key. “There is a very high possibility that you will see in the next decade or two, if we can innovate more with the greenhouses and produce more in warehouse settings, you can essentially urbanize and create factories of food within these large urban centres,” he says. In addition to these modern factory farms, Lackner wants to see more rooftop gardens and government policy that sets aside land to protect it from being developed other than as farmland. And for young people wondering what they can do, he says just dive in. “Get out there, get your hands dirty. Make that change that you want to see,” he says. “If you see something that no one else is doing or that's missing, don't wait for someone else to get that going, start it yourself and get involved. There is a way to do all that and connect with the experts and community partners.” Morgan Sharp, Local Journalism Initiative Reporter, National Observer
L'hôpital Temiskaming a été désigné comme hôpital de niveau « 1 », à choisir avec soins, au Canada. Cette désignation est accordée aux hôpitaux qui se sont engagés à lutter contre les tests et les traitements inutiles. Cette distinction témoigne de la qualité des soins les plus sûrs et de meilleurs services offerts aux patients. L'hôpital de Temiskaming est l'un des 18 hôpitaux canadiens et des 13 hôpitaux de l'Ontario à recevoir une telle désignation de niveau « 1 ». Une reconnaissance pour les professionnels de la santé Les tests et les traitements inutiles constituent un problème omniprésent dans les soins de santé et entraînent souvent une augmentation des temps d'attente pour les patients. Cette désignation reconnaît les efforts déployés par les professionnels de la santé pour améliorer les services à l’hôpital Temiskaming et les soins accordés à ses patients. « L'Hôpital de Temiskaming accorde une grande importance aux initiatives d'amélioration de la qualité pour soutenir la prestation de soins fondés sur des données probantes » fait savoir la directrice des soins infirmiers et directrice des soins aux patients l’hôpital de Temiskaming, madame Erin Montgomery. Un autre objectif fixé Cette désignation qui comporte plusieurs d’autres niveaux incite les professionnels et les employeurs de l’Hôpital de Temiskaming à continuer leur bel engagement sur cette voie de qualité. D’ailleurs leur prochain objectif est d’obtenir une désignation de niveau 2 d'ici le 31 mars 2022. « Avec le soutien du Conseil de la qualité et de la sécurité des patients de l'hôpital, du Comité de la qualité des soins, du Comité consultatif médical et du Comité de planification de la qualité et des services, l'Hôpital Temiskaming s'est engagé à obtenir cette désignation au niveau canadien, je tiens à féliciter toute notre équipe et les membres pour leurs efforts au cours des derniers mois » souligne Montgomery. Un travail fort et homogène Le président et Chef de la direction de l’hôpital de Temiskaming, monsieur Mike Baker, a exprimé sa fierté quant à l’obtention de cette distinction. « La force de notre équipe à l'hôpital de Temiskaming réside dans la façon dont nous travaillons ensemble pour développer des solutions ». « Les médecins, le personnel clinique et l'administration ont travaillé ensemble pour l’obtention de cette désignation reconnue à l'échelle nationale et qui permettra de continuer à améliorer directement les soins aux patients pour notre communauté » a-t-il conclu. Moulay Hicham Mouatadid, Initiative de journalisme local, Reflet Témiscamien (Le)
SACRAMENTO, Calif. — California Gov. Gavin Newsom and state legislative leaders have reached an agreement aimed at getting most public schoolchildren back in classrooms by the end of March. Under the deal announced Monday, school districts could get up to $6.6 billion if they reopen classrooms by March 31. To get the money, schools must return to in-person instruction at least through second grade. However, districts in counties with coronavirus case numbers low enough within a specific classification level must return to in-person instruction for all elementary school grades, plus one grade each in middle and high school. The proposal does not require staff and students to be vaccinated. Districts are not required to have agreements with teachers’ unions. Adam Beam, The Associated Press
TORONTO — Professional rugby league in Canada lasted less than four seasons with the Toronto Wolfpack. The Ottawa Aces have yet to take the field. But there are plans to kick-start the sport at the grassroots level in Canada, in the form of the Canada Co-Operative Championship Rugby League (CCCRL). Organizers hope to eventually establish a 12 -team league with both men's and women's teams with fans literally able to buy into the concept. Sandy Domingos-Shipley, a Toronto native now based in Leeds, England, is looking to help get the project off the ground. "I've got children born and raised here," the mother of three said in an interview. "And I've seen the impact of rugby league from a kid's point of view — how much they really do get involved in community and the good that comes out of the sport from the grassroots level. "And I really want the people in Canada to have a bit of that. I want them to have more of it … We can make rugby league grow in Canada the right way." The Canadian co-op league idea is the brainchild of 37-year-old Chris Coates, an English native who is the founding firector of CCCRL. He has been mulling over the concept for some years now. Coates is coach of the Sheffield Forgers, who play in the Yorkshire Men's League. He also has a hand in the international game as coach of the Lithuania men's team, describing himself as a "diehard expansionist at heart." "I believe that the game really should be for everybody," he said. "And I find it perplexing that so many people love the game but don't want to see it grow outside its (northern England) heartlands." His day job is in the tech world. "I build super-computers for a living." Looking to develop the sport, the league will feature rugby league nines which is akin to rugby union's sevens — a faster, condensed nine-a-side version of the rugby league game. They believe nines is an easier introduction to the game. The idea is to start with a six-team league in 2023, with plans of increasing up to 12 teams — six men's and six women's — with representation from B.C., Alberta and Saskatchewan, Ontario and Quebec. Divisional competition will be followed by championship play. Domingos-Shipley says the league will also serve as a home for members of the Canadian national teams: the Wolverines (men) and Ravens (women). Players will be paid on a pro-am model. The Canadian Rugby League Association is on board, although not contributing financially. " What's exciting from our point of view is that the initiative is based on the development of grassroots rugby league," said CRLA president Bob Jowett. "We certainly wish them al the best with it and are supportive of the initiative." Domingos-Shipley says the plan calls for the governing body to benefit from some of the profits from the proposed league. Coates says the league will be funded 40 per cent in the form of private equity and 60 per cent by fans. Investors would get an annual return. They have not yet disclosed the minimum investment but say the average fan will be able to afford to get involved. "The thing with a co-operative is it effectively buys brand loyalty," said Coates. "People who invest in something are inclined to want to make that work." "Fans want to be part of growing something and this is the way they can do that," added Domingos-Shipley, who moved to England in 2001. Her passion for rugby league started four years ago when she started following the Wolfpack in England, becoming essentially a super-fan. Coates applauded the expansion to Toronto although he says he saw "risks" with the Wolfpack agreeing to pay visiting teams' travel and accommodation costs. Unable to play at home due to the pandemic, the Wolfpack stood down in July saying it could not afford to play out the remainder of the 2020 Super League season. The club's subsequent bid for reinstatement under new ownership in 2021 was voted down in November. "As a business owner, I couldn't get my head around how we got to the place where we were," said Domingos-Shipley, who runs a consulting company. Coates, meanwhile, was prompted to look for alternate ways to grow the game. In his words, "If you could do it completely differently, how would you do it?" He started talking to other people about the Wolfpack, including Domingos-Shipley, sharing his idea for a co-op league. "I was like 'Right I'm helping you do this. I want this to work,'" said Domingos-Shipley, who is billed as the CCCRL co-founder and director of governance and compliance. Coates also watched tape of the East-West game played at Lamport Stadium in January 2020. "It was good quality stuff," he said. He believes the talent and interest for a domestic league are both there. "The Wolfpack have done fantastic job of growing that market, from nothing. To grow to 10,000 fans in four years from zero fans is a great achievement. But the problem is that it was done in an unsustainable way." Organizers say they are working with "appropriate organizations" to ensure that all financial participation is in line with regulations and expectations. Coates says his group already has some commercial partners "in the pipeline." --- Follow @NeilMDavidson on Twitter This report by The Canadian Press was first published March 1, 2021 Neil Davidson, The Canadian Press
(Shane Magee/CBC - image credit) Police are warning of poor driving conditions in parts of New Brunswick as a storm rolls through the province Monday. The RCMP said on Twitter that SNC Lavalin is recommending motorists stay off a stretch of the Trans-Canada Highway between Saint-Jacques, near Edmundston, and Lower Woodstock. "Driving conditions are extremely poor," RCMP said. Meanwhile, NB-511, the government of New Brunswick's online road conditions map, is indicating roads are either fully or partly covered in snow in most regions north of Fredericton and Moncton. A 33-kilometre stretch of the Trans-Canada Highway west of Moncton, from River Glade to Dubee Settlement, is also reported to be covered in snow and icy patches. Other roads south of the Trans-Canada Highway are being reported as bare. The advisories come after Environment Canada issued a snowfall warning for the northern half of New Brunswick Monday. The national weather agency said some parts of the province could see between 15 and 25 centimetres of snow Monday into Tuesday. The heavy snow was expected to spread east across central and northern New Brunswick Monday morning with temperatures rising above 0 C in some places by the afternoon, causing some of the snow to melt. Half of New Brunswick is under a snowfall warning today. Snow is expected to taper to flurries by Tuesday morning, with strong westerly winds bringing in a cold air mass. Areas affected include: The Acadian Peninsula The Bathurst and Chaleur region Campbellton and Restigouche County Edmundston and Madawaska County Grand Falls and Victoria County Kouchibouguac National Park The Miramichi area Mount Carleton Stanley, Doaktown and Blackville areas Woodstock and Carleton County Strong wind gusts expected Tuesday Meanwhile, the Acadian Peninsula, Campbellton and Restigouche County, the Bathurst and Chaleur regions can expect to see northwesterly wind gusts travelling up to 90 km/h Tuesday morning into the evening. "Winds are expected to drop below warning criteria by Wednesday morning," Environment Canada said in a statement. "These strong winds may cause blowing snow over exposed areas giving reduced visibilities."
Les truffes de culture et sauvages pourraient d’ici quelques années devenir une spécialité mauricienne. Des chercheuses, spécialistes, organismes, investisseurs et propriétaires forestiers et terriens flairent aujourd’hui la bonne et belle affaire. La filière s’organise. Un véritable réseau truffier est en train de se structurer en Mauricie, grâce aux efforts concertés de nombreux intervenants qui travaillent en synergie. Parmi eux, Truffes Québec, ArborInnov, la Filière mycologique de la Mauricie (bras de développement des comestibles forestiers du Syndicat des producteurs de bois de la Mauricie), des chercheurs et des propriétaires privés. Truffes Québec espère, dès à présent, implanter chaque année un peu moins d’une dizaine de truffières sur le territoire de la Mauricie. L’organisation veut que la région serve de modèle dans la culture de ce champignon convoité, goûteux, rarissime et coûteux. Pour y parvenir, Truffes Québec travaille de très près avec la Filière mycologique de la Mauricie qui sert de point d’entrée aux exploitants intéressés par la culture des truffes. Ces derniers sont ensuite référés à Truffes Québec qui analyse les projets et leur faisabilité. « On veut avoir des producteurs qui ont une vision et qui ne cherchent pas une rentabilité à court terme. Il y a tout un accompagnement pour faire en sorte que chaque installation soit un succès. En particulier pour la truffe des Appalaches. C’est l’aspect global qu’on travaille avec eux », explique Jean-Pierre Proulx, directeur de Truffes Québec. Intervient alors ArborInnov qui travaille depuis 2009 à valoriser la culture des truffes, à produire des arbres truffiers et à conseiller les producteurs. Des producteurs qui n’ont aucune intention de crier sur tous les toits leur affection pour la truffe et les projets qui se réalisent dans le plus grand secret et sous le couvert de l’anonymat. « On a eu des rencontres, fait des analyses de sols, de faisabilité » précise M. Proulx. Julia (nom d’emprunt) est l’une de celle qui veut avec son conjoint, planter 1 600 arbres truffiers sur sa terre de douze hectares. La truffière en occupera le dixième de sa superficie. « C’est un projet de préretraite. On cherchait une culture à faire sur une petite surface et je voulais avoir une forêt derrière la maison. On va planter des chênes rouges, du pin blanc et des épinettes de Norvège qui tiennent compte de notre type de sol. Les cultures émergentes nous intéressent. Je suis dans l’industrie alimentaire depuis toujours, je vois beaucoup de potentiel de développement. On essaie de limiter nos rêves de grandeurs. Si on compare à ce qui sort en nature, on devrait avoir un rendement qui nous permette d’en vivre comme retraités. Et il n’est pas impossible, si le résultat est bon, qu’on ajoute un autre champ. Il faut être capable de supporter l’investissement », souligne Julia qui se garde bien de nous dire combien elle a investi, et où! « On est en Mauricie », se limite-t-elle à préciser. Julia lance sa truffière en toute discrétion dès le printemps prochain, avant les possibles sécheresses de l’été. « Il va falloir arroser, on n’a pas le choix ». Truffes Québec et la Filière mycologique de la Mauricie planchent sur des projets porteurs qui pourraient être dévoilés au courant de l’hiver. « Ça fait déjà travailler plein de monde. Quand ça se met à décoller, dans dix ans, c’est une autre affaire », conclut M. Quirion. Combien vaut un kilo de truffes du Québec? On vient de vendre un kilo de truffes des Appalaches pour 3 000 $. Des centaines de milliers de dollars investis dans la truffe en Mauricie Les investissements se multiplient en Mauricie. « On regroupe la cueillette, la transformation, la restauration, le mycotourisme, la recherche et le développement. On bâtit ensemble un plan quinquennal », explique Patrick Lupien, coordonnateur de la Filière mycologique de la Mauricie. La Filière travaille main dans la main avec Truffes Québec et ArborInnov. « Mon rôle est de mobiliser les propriétaires en vue de développer des champs truffiers en Mauricie, de venir ajouter au positionnement de la Mauricie dans le secteur », affirme M. Lupien de la Filière. Ce dernier travaille aussi au développement d’une filière de mycotourisme de la truffe sauvage avec la chercheuse Véronique Cloutier. Truffes Québec et la Filière mycologique de la Mauricie vont travailler de concert avec le club-conseil en agroenvironnement Lavi-Eau-Champ à l’implantation de champs truffiers. Cet automne, près de 200 000 $ ont été investis par des producteurs truffiers truffiers indépendants qui vont lancer leur truffière au printemps 2021. « L’investissement va varier selon les producteurs. Les arbres sont déjà réservés », ajoute Jean-Pierre Proulx. « C’est une excellente nouvelle, qui vient une fois de plus confirmer le rôle central que peut jouer la Mauricie dans la croissance de la mycologique et de la gastronomie au Québec , ajoute Patrick Lupien. Pour des projets qui sont porteurs comme ça, je ne pense pas qu’on ait besoin des gouvernements.» Une foule d’autres variétés pourraient, à terme, être produites en régie agronomique, estime Patrick Lupien de la Filière mycologique, d’autant que les pays européens enregistrent actuellement des baisses de production. Le Québec pourrait se faufiler. « On parle de la truffe sauvage au Québec, comme quand je parlais de champignons il y a douze ans. La truffe suit cette même dynamique. Et elle est réfléchie. Il y a une clientèle nationale et internationale prête à la découvrir », estime M. Lupien. Boris Chassagne, Initiative de journalisme local, La Voix du Sud
(Evan Mitsui/CBC - image credit) Ontario reported another 1,023 cases of COVID-19 on Monday as nine public health units moved to different tiers of the province's colour-coded restrictions system, including two that are headed back into lockdown. Among the new cases are 280 in Toronto, 182 in Peel Region and 72 in Ottawa. Thunder Bay and Simcoe Muskoka, meanwhile, logged 55 and 39 additional cases, respectively. Both health units have seen a rise in new infections in recent weeks, driven in part by the spread of more contagious variants of SARS-CoV-2, the virus that causes COVID-19. Last week, the province announced it would activate what it describes as an "emergency brake" for the two regions, shifting them to the grey "lockdown" tier. The move imposed a variety of more stringent public health measures in those regions, including capping most indoor gatherings at 10 people, closing restaurants to in-person service and forcing non-essential retailers to operate at 25 per cent capacity. "We know this is upsetting to the local individuals and people," Ontario's Chief Medical Officer of Health Dr. David Williams said at a news conference on Monday. "We want to be cautious and careful and we are assessing these situations." Seven other public health units, meanwhile, saw restrictions eased somewhat today as they moved down a level in the provincial framework. The Niagara Region is now classified as red, the Chatham-Kent, Middlesex-London and Southwestern units all moved to the orange tier, Haldimand-Norfolk and Huron Perth transitioned to the yellow level, and Grey Bruce to green, the least restrictive. As regions move into zones with looser restrictions, Williams advised people to stay vigilant about the variants of concern no matter which colour zone they're in, saying those variants are much more easily transmissible. As for further cases in today's report, the following public health units also reported double-digit increases: Hamilton: 53 York Region: 47 Halton Region: 39 Waterloo Region: 39 Durham Region: 34 Niagara Region: 30 Windsor-Essex: 22 Middlesex-London: 18 Brant County: 16 Lambton: 14 Northwestern: 12 Peterborough: 12 Wellington-Dufferin-Guelph: 12 Sudbury: 11 (Note: All of the figures used in this story are found on the Ministry of Health's COVID-19 dashboard or in its Daily Epidemiologic Summary. The number of cases for any region may differ from what is reported by the local public health unit on a given day, because local units report figures at different times.) The seven-day average of new cases fell slightly to 1,099. Ontario's lab network completed 35,015 tests for the virus and reported a test positivity rate of 3.1 per cent. The seven-day average of positivity rates has been relatively flat for several days. Seven more cases screened positive for the virus variant first identified in the United Kingdom, bringing the total number so far to 535. No new cases linked to variants first found in South Africa and Brazil were added to today's update. As of Sunday, the cumulative number of cases of variants of concern in the province sits at 565. The Ministry of Education reported 116 school related infections: 99 students, 15 staff members and two people who were not identified. Twenty schools, or about 0.4 per cent of all publicly-funded schools in Ontario, are currently closed due to the illness. Health units also recorded the deaths of six more people with COVID-19, bringing the province's official toll to 6,986. Soft launch for vaccine booking portal Meanwhile, a spokesperson for the Ministry of Health said Ontario's website for booking COVID-19 vaccination appointments will begin a soft launch in six health units this week. The online portal is currently scheduled to be operational provincewide on March 15. Regions participating in the soft launch are: Kingston, Frontenac and Lennox and Addington Peterborough Hastings and Prince Edward Counties Leeds, Grenville and Lanark Grey Bruce Lambton But the spokesperson noted the site will not be available to the general public in those regions. Officials will reach out to a small number of people aged 80 or older and eligible health-care workers to invite them to participate. "This will help inform the province's plan to organize the vaccination of larger populations, providing the opportunity to try components of the system before the full launch," the spokesperson said in an email. Some public health units have begun offering appointments and first doses to residents 80 years old and above before Ontario's centralized booking system becomes available to the public. Guelph, Ottawa, Waterloo and Simcoe Muskoka are among them. In the GTA, York Region began booking appointments this morning. In an emailed statement to CBC Toronto, a spokesperson for the region's public health unit said within the first two hours of operation, approximately 20,000 appointments were booked across the region's five locations on the online portal. Within hours, the region posted to its official Twitter account that all available appointments had been taken, and more will only become available once there is local capacity and vaccine supply. The Ministry of Health said it anticipates that public health units using their own programs for online appointments right now will migrate to the province's portal once it has launched. "Be careful, be consistent, wait for your vaccine — it's coming," Williams said. The province said it administered 17,424 doses of COVID-19 vaccine yesterday. A total of 263,214 people have now received both shots of either the Pfizer or Moderna vaccine, according to the Ministry of Health. Last week, Health Canada approved Astrazeneca's vaccine for use, though there has been no word on when doses may actually arrive in provinces.
Depuis un an, la MRC a amorcé une réflexion face aux actions qu’il est possible de poser dans le milieu municipal afin d’accompagner les collectivités pour améliorer la qualité de vie des citoyens et notamment la desserte en services de proximité. Ces services, explique la MRC, peuvent être municipaux, gouvernementaux ou encore marchands. Dans le contexte où une épicerie-station-service annonce sa fermeture dans une municipalité, la question revient de l’avant. « En ce moment, la MRC accompagne les municipalités dans leur rôle et responsabilités municipales, en tout respect des champs de compétences des municipalités et villes. Notre vision est à l’effet que chaque milieu est important et que les citoyens et citoyennes de chacune des municipalités ont droit à toute notre attention et qu’ils ont aussi droit à des milieux de vie de qualité. Nous souhaitons poursuivre le travail d’accompagnement, en sachant que les élus locaux sont les mieux placés pour bien connaître et comprendre les besoins de leur population » fait savoir la Préfète de la MRC de Témiscamingue, madame Claire Bolduc. Des services municipaux peuvent être déployés La réorganisation logistique et l’offre des services est assujetti au contexte et aux besoins des municipalités. « Nous sommes conscients que des services municipaux variés peuvent être déployés, et l’exemple récent de la municipalité de Fugèreville, qui reprend l’église au centre du village et la transforme en bâtiment public multi-usage est très inspirant. Ou encore une municipalité qui acquiert un local et qui en fait la location pour assurer des services à sa population, comme le font Fabre avec la clinique médicale, ou encore Moffet avec le marché public » indique madame Bolduc. « Nous sommes également conscients que les services gouvernementaux peuvent difficilement être dans tous les milieux, mais que le territoire doit pouvoir bénéficier de ces services » ajoute la Préfète. Des moyens financiers disponibles Quant aux services marchands, selon la Préfète, chaque milieu doit pouvoir bénéficier de quelques-uns de ces services. Mais il est relativement complexe pour une municipalité de s’inscrire dans des services marchands directement. Ce sont donc des appuis distincts fait auprès d’organismes qui peuvent se mettre en place, comme des coopératives par exemple, comme on le voit à Rémigny, à Laforce ou à St-Eugène. « En ce moment, la MRC dispose de quelques moyens financiers afin de soutenir le travail des municipalités et villes dans la réalisation de projets dans leurs milieux. C’est le Conseil de la MRC qui détermine les conditions d’utilisation de ces sommes, et ce, à chaque année » précise-t-elle. Obtenir du financement ? La MRC de Témiscamingue souhaite que chaque municipalité ou Ville dispose de facilités ou de moyens pour répondre aux besoins de la population dans la mesure de projets possibles et réalisables. L’objectif visé est que chaque milieu puisse prendre en main son développement, avec un appui de tout le territoire. « En ce sens, nous bénéficions en ce moment d’une enveloppe du Fonds Région-Ruralité qui comporte deux volets pouvant être utiles aux municipalités. Le Volet 2 permet aux municipalités et aux OBNL de déposer des projets et d’obtenir du financement pour réaliser un projet de développement ou de service, alors que le volet 4, qui s’adresse de façon particulière aux municipalités en voie de revitalisation, vise à initier et à soutenir une démarche active d’orientation et de développement » fait savoir Claire Bolduc. Comprendre les besoins des clients Le plus grand défi, pour les services marchands, souligne la Préfète, demeure de pouvoir répondre à tous les besoins exprimés alors que les moyens demeurent limités. Il nous faut donc faire preuve de beaucoup de créativité. « On a vu au cours de la pandémie, la très grande importance des services marchands et des commerces de proximité dans nos milieux, c’est un engouement qu’on ne doit pas oublier, et cela implique plusieurs points. D’abord, comprendre les besoins des clients et trouver comment y répondre au mieux et simplement. Ensuite être en mesure de fidéliser ces clients et de faciliter l’accès aux commerces. Enfin, il est toujours difficile de compétitionner certaines grandes chaînes, tant sur l’offre de produits que sur le prix… certains aident plus que d’autres les petits commerces, mais cela demeure un enjeu poursuit-elle. « Un autre enjeu, continuel, est de favoriser la diversité des offres dans chacun des milieux et de faire en sorte que chaque proposition de service soit complémentaire avec les autres et qu’aucune ne vienne nuire à une autre offre. On cherche, ce faisant, à créer une belle et bonne cohésion du territoire » conclut-elle » conclu-t-elle. Moulay Hicham Mouatadid, Initiative de journalisme local, Reflet Témiscamien (Le)
MOSCOW — Two top United Nations human rights experts urged an international probe into the poisoning of Russian opposition leader Alexei Navalny and called Monday for his immediate release from prison. Agnès Callamard, the Special U.N. Rapporteur on extrajudicial, summary or arbitrary executions and Irene Khan, the Special U.N. Rapporteur on the promotion and protection of the right to freedom of opinion and expression, said Navalny’s poisoning was intended to “send a clear, sinister warning that this would be the fate of anyone who would criticize and oppose the government.” “Given the inadequate response of the domestic authorities, the use of prohibited chemical weapons, and the apparent pattern of attempted targeted killings, we believe that an international investigation should be carried out as a matter of urgency in order to establish the facts and clarify all the circumstances concerning Mr. Navalny’s poisoning," they said in a statement. Navalny, the most prominent critic of Russian President Vladimir Putin, fell sick on Aug. 20 during a domestic flight in Russia and was flown while still in a coma to Berlin for treatment two days later. Labs in Germany, France and Sweden, and tests by the Organization for the Prohibition of Chemical Weapons, established that he was exposed to a Soviet-era Novichok nerve agent. Russian authorities have denied any involvement in the poisoning. In December, Navalny released the recording of a phone call he said he made to a man he described as an alleged member of a group of officers of the Federal Security Service, or FSB, who purportedly poisoned him in August and then tried to cover it up. The FSB dismissed the recording as a fake. Callamard and Khan on Monday published their official letter sent to the Russian authorities in December and noted that “the availability of Novichok and the expertise required in handling it and in developing a novel form such as that found in Mr. Navalny’s samples could only be found within and amongst state actors.” The experts emphasized in the letter that Navalny “was under intensive government surveillance at the time of the attempted killing, making it unlikely that any third party could have administered such a banned chemical without the knowledge of the Russian authorities.” Navalny was arrested on Jan. 17 upon returning from Germany, where he spent five months recovering from the nerve agent poisoning. The arrest triggered massive protests, to which the Russian authorities responded with a sweeping crackdown. Last month, Navalny was sentenced to 2 1/2 years in prison for violating the terms of his probation while convalescing in Germany. The sentence stems from a 2014 embezzlement conviction that Navalny has rejected as fabricated — and which the European Court of Human Rights has ruled to be unlawful. Last week, Navalny was sent to serve his prison sentence to a prison outside Moscow despite the ECHR's demand for his release, which cited concerns for his safety. Russian officials have dismissed demands from the United States and the European Union to free Navalny and stop the crackdown on his supporters. Mikhail Galperin, Russia's deputy justice minister, charged Monday that Moscow has contested the ECHR's ruling demanding Navalny's release in a letter sent to the Strasbourg-based court. Meanwhile, the UN rights experts noted that an international probe into Navalny's poisoning is “especially critical” now when he is in prison. They called for his immediate release and reminded Russia that it's “responsible for the care and protection of Mr. Navalny in prison and that it shall be held responsible for any harm that may befall him.” Vladimir Isachenkov, The Associated Press